FRANCE-SOIR

10/04/2008

Dans le recensement qu’il dresse des libéralités dont fit preuve l’abbé Saunière envers certains de ses proches, Gérard de Sède, à la page 39 de son ouvrage de 1988 Rennes-le-Château, le dossier, les impostures, les phantasmes, les hypothèses, cite Mme Roumens Talon en ces termes : « Enfin, Saunière avait donné deux bijoux à une nièce de Marie Dénarnaud, Mme Roumens-Talon, qui nous les montra : il s’agissait d’un bracelet et d’un collier d’or, l’un et l’autre incrustés de grenats, d’amandine et de pâte de verre de diverses couleurs, caractéristiques de l’orfèvrerie wisigothique. Le 28 août 1974, hélas ! cette dame fut assassinée à Paris : on la trouva dans le placard de son appartement, étranglée avec un fil électrique, le crâne fracassé avec un chandelier. L’assassin était membre d’une secte. ».
Les circonstances de ce fait divers sont relatées par le quotidien France-Soir dans son article du 31 août 1974 présenté ci-dessous.


 

Roumens